Lundi
-Sortie aux Tuileries de Niévroz à la recherche des Couleuvres vipérines avec Alexandre Lay, moi même et Cali.
Beaucoup de Grenouilles vertes, lézards verts, des murailles, une cistude et une couleuvre verte et jaunes vues, mais niveau vipérines... ça ne se bouscule pas vraiment.
Néanmoins il aura fallu attendre la dernière ronde autour du lac afin de trouver (enfin!), une petite Couleuvre vipérine.


Mardi
Il pleut, il pleut bergère, rentres tes léthargique vipères...
Et bien non, ce seront les Couleuvres vertes et jaunes qui seront au rendez-vous, pour le plus grand bonheur de Cali, qui en voyait de près pour la première fois, malheureusement, la première rencontre était trompeuse.
Une très lente et docile verte et jaune, voilà qui est surprenant, et c'est aux dépends de sa main que Cali va comprendre que la seconde n'est pas aussi coopérative... sous une pluie battante!


Mercredi
Ben repos quoi, on va pas sortir tous les jours non plus!
Non, en réalité, cette journée de repos s'est transformé en gros effort à vélo pour se rendre en Dombes, mais hormis rats musqués, ragondins et carpes... il ne faisait pas bon être herpéto ce jour là.
Jeudi
Avec Alexandre Lay, petite sortie au Grand Parc de Miribel Jonage, en perspective, des Couleuvres vertes et jaunes.
Mais en réalité, après 5 minutes de marche, première verte et jaune qui, étant l'objectif de la sortie, nous à tous fait comprendre que l'objectif étant accompli, pas la peine de crever de chaud plus longtemps, tous à l'eau (sous le regard des nudistes xD).
Malgrès tout, j'ai voulu faire un dernier tour pendant que mes deux très sérieux et travailleurs collègues se baignaient, l'occasion d'appercevoir une Cistude et une superbe Couleuvre d'esculape qui a été bien plus maline que moi et a trouvé refuge chez un lapin.

Vendredi
21 km à vélo, ça use, ça use, 21 km à vélo, ça use les vertèbres du dos...
Aller, avec notre légendaire courage, nous partons vers le marais de charvas, en isère, afin de trouver (enfin, en espérant trouver) une ou plusieures Vipères aspic.
Ciel gris, air plutôt frais, toutes les conditions semblent être réunies, et pourtant, nous resterons 3 longues heures sur notre faim avant d'appercevoir, une aspic qui fuit aussitôt.
Une bonne demi heure plus tard, après avoir enfin décidé de chercher (non en fait je venais de manger un bon petit gâteau et je me dirigeais vers une flaque pour me "rincer" les mains), j'aperçois sur le sol terreux creusé par une pierre que nous avions soulevé peu avant, une Aspic, juvénile, le début d'une série de 3 épisodes, tous aussi magnifiques, avec une légère préférence pour le dernier et le plus grand (à vous de juger!).


